La nouvelle affaire Eric Christian Nya connaît un nouveau développement. L’animateur de la CRTV vient de réagir de façon indirecte aux accusations d’homosexualité portées cette semaine via les réseaux sociaux contre lui par une femme. Cette dame, une certaine Gaelle qui fait partie de ses connaissances a balancé sur la toile un extrait d’une conversation téléphonique avec l’animateur etd es captures d'écran qu'elle prétend être conversations érotiques des supposés amants sur Facebook. Dans l'enregistrement, elle accuse le présentateur du programme télévisé Cameroon Feelng d’être l'homme avec qui son mari entretient des rapports homosexuels. Ce dont Eric Christian Nya, à l’autre bout du fil, se défend. C’est cette position que ses avocats confirment dans un communiqué oublié ce 31 Juillet 2021.
« Me Marie Claude Edjang et Me Calvin Job (Barreaux de Paris et du Cameroun), Avocats de Monsieur Eric Christian NYA, tiennent à édifier l’opinion publique sur les propos abjects qui circulent sur les réseaux sociaux le concernant. En effet, depuis quelques jours sur les réseaux sociaux, circulent une bande audio et des captures d’écran contenant des propos infamants à l’encontre de Monsieur Éric Christian NYA, présentateur en service à la CRTV. Ce dernier ne se reconnait aucunement dans les allégations autant mensongères que délirantes tenues dans cette bande audio, ni ces captures d’écran, publiées par une personne disant se prénommer Gaëlle, dont l’attitude interpelle sous l’angle du profil psychotique », lit-on dans le document. Les conseils de la star du petit écran dénoncent le fait que les propos de l’accusatrice soient repris en boucle par de nombreux internautes « avec une violence indescriptible » troublant la quiétude de « sa petite famille qui vit paisiblement sans bruit ne mérite pas tout ce lynchage médiatique ».
Cela dit, les avocats d’Eric Christian Nya font savoir qu’ « iI entend saisir les tribunaux compétents pour défendre son honneur et sa dignité ». Ils annoncent qu’une plainte « sera déposée dans les prochains jours devant les juridictions françaises ». Ils expliquent que leur client ne veut pas tolérer que son nom soit trainé dans la boue « par une personne dont le comportement depuis des mois a des relents d’un indescriptible acharnement ». Une conférence de presse est annoncée « incessamment, afin d’édifier l’opinion publique sur les réelles intentions de l’auteure de cette bande audio et de ces captures d’écran ».