C'était le buzz de la semaine derniere. Plusieurs dizaines de stars du Cameroun on reçu, chacune à son tour, une invitation personnalisée du Président de la Fecafoot, comme ci-dessous:
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Le Comite Supreme de l'Héritage du Qatar et ma modeste personne vous convions à un cocktail dinatoire ce dimanche 14 Aout 2022, au restaurant "Le Famous" sis au quartier Bastos, à 18 heures précises.
Ceci dans le but de parcourir les opportunités qui entourent la prochaine Coupe du Monde Qatar 2022.
A cet effet, j'ai l'honneur de vous inviter à réhausser de votre présence cet événement.
Samuel ETO'O FILS
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Dimanche donc à 18 heures, c'était une affluence inéite au restaurant le Famous.
Vanister, par exemple, lui ne voulait rien rater de l'événement et s'est assuré d'arriver bien avant l'heure dite. Et en attendant, l'auteur du nouveau tube "Sans Confiance" a gratifié les invités de cette petite mélodie improvisée:
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Koppo était en weekend au village et a du écourter son séjour en famille pour ne rien rater.
Maahlox était à Dschang et a néamoins pris la route. Mais voyage trop long. Il est arrivé au resto quand tout était fini.
Les témoins de l'événement sont unanimes. La fete fut belle. Samuel Eto'o était bel et bien là et a posé avec de nombreux invités.
Au resto, les gens n'ont pas fait que manger. Le Président le la Fecafoot a aussi tenu à envoyer un message fort à tous ceux-la qui disent des choses sur lui sur Internet, dans les radios à la télé:
Samuel Eto'o: "J'écris mon histore, les autres la commentent !"
Et comme il fallait s'y attendre, l'entourage de Samuel Eto'o n'a pas pensé à tout le monde. Donc depuis ce Lundi matin, il y a des pleurs de ces influenceurs comme "Zack des Zacks", Ko-C, etc... qui ont été oubliés. Triste !
Puis, des bruits se font aussi entendre de ceux/celles-là qui influencent au Cameroun mais vivant à l'étranger, pour n'avoir pas été invités. L'espoir n'est pas perdu, pour autant. Nul doute que le pichichi profitera de ses multiples déplacements en Europe pour corriger. Nous aurions ainsi la possibilité de revoir certaines de ces "influenceuses d'Etat", principalement de France, qui descendirent en force au pays en Février dernier pour "surliver" la CAN du Cameroun, mais qui durent quitter le pays de façon prématurée et pricipitée, pour des raisons inconnues.