On t’avait vu pleurer après l’élimination des sixers en ½ finale de conférence, que signifiait cette réaction ?
C’était l’émotion. Je pensais que l’on avait une très bonne opportunité de gagner le titre cette année. On n’a pas pu atteindre notre objectif. C’est pour ça que j’ai pleuré
On te sait très proche de Pascal Siakam, quelle a été ta réaction quand tu l’as vu devenir champion ?
J’etais très content de le voir remporter ce titre. J’aurais aimé être le premier camerounais à remporter le titre. Mais je suis vraiment content pour tui. A chaque match je lui envoyais un message pour continuer à l’encourager. C’est énorme ce qu’il a fait.
On voit de plus en plus de joueurs africains en NBA, qu’est-ce-que cela t’inspire ?
Ça veut dire beaucoup, parceque la NBA a toujours été considérée comme un championnat pour les américains. Il y aura d’autres joueurs africains à venir en NBA.C’est quelque chose qui fait plaisir. C’est à nous joueurs, d’essayer de continuer à bosser dur pour porter les couleurs de notre pays et de l’Afrique encore plus haut
Tu es présent au Sénégal dans le cadre du Baketball Without Borders, quel message as-tu pour les jeunes participants ?
Il faut continuer à travailler. Le travail paye.Tout est possible. J’etais dans leur position il y a quelques années en 2011. C’est grace à cette opportunité que je suis où je suis, et que je suis qui je suis. Je suis aussi là pour les encourager, leur montrer qu’il faut continuer à travailler.