Cameroun - Hôtellerie: Martin Salif Ntyam Ondo, le tout premier directeur général de l’hôtel Bengo à Ebolowa (Sud), installé dans ses fonctions

Par Wilfried ONDOA | Cameroon-Info.Net
YAOUNDE - 08-Oct-2020 - 09h22   11475                      
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Hôtel Bengo'o d'Ebolowa archives
Il a été installé par le secrétaire général du ministère du Tourisme et des Loisirs, Ndioro à Mamoun, le 30 septembre 2020.

Martin Salif  Ntyam Ondo, le tout premier directeur général de l’hôtel Bengo à Ebolowa dans la région du Sud, a été installé le 30 septembre 2020. C'est le secrétaire général du ministère du Tourisme et des Loisirs (MINTOUL), Ndioro à Mamoun, qui l'a installé.

Le quotidien d’Etat Cameroon Tribune paru le 7 octobre 2020 rapporte qu’il est «âgé de 55 ans et titulaire du diplôme supérieur d’aptitude pédagogique».

Cet hôtel «est dressé au lieu-dit carrefour Elat, à l’entrée nord de la cité capitale du Sud. L’hôtel Bengo, du nom de la source qui coule en contrebas de la structure, est un joyau architectural de plus de six niveaux. Il est venu rehausser significativement la capacité d’accueil de la région du Sud et par extension du Cameroun, en matière de tourisme et de loisirs, pour le plus grand bonheur des touristes internes, internationaux et des populations riveraines», précise notre confrère.

Il est bâti sur une superficie de 2400 m2. Cet hôtel classé «’’trois étoiles’’, participe désormais à la création de richesses, d’emplois directs et indirects», peut-on lire.

Conforme aux standards internationaux et aux défis environnementaux de l’heure, «cette prestigieuse infrastructure de l’Etat offre un bâtiment central de deux sous-sols, un rez-de-chaussée et six étages. Il a une capacité d’accueil de 92 chambres, cinq suites juniors, deux suites présidentielles, deux salles de réunion, une salle de conférence, deux restaurants, deux bars, un night-club, une salle de musculation, une salle de billard, un casino, une infirmerie, un espace administratif, des locaux techniques, une salle d’exploitation et beaucoup d’autres commodités, qui permettent le rayonnement et le bon fonctionnement de cette structure qui aura coûté près de 15 milliards de F CFA à l’Etat», lit-on.

Wilfried ONDOA

Auteur:
Wilfried ONDOA
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