Cameroun – Dénonciation: Le journaliste et homme politique Sam Severin Ango accuse sa femme d’avoir incendié sa maison

Par Claude Paul TJEG | Cameroon-Info.Net
YAOUNDE - 22-Jan-2020 - 03h40   21640                      
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Sam Severin Ango Kare Djiaha
Ledit domicile situé au quartier Angoo, à 7 km de la ville d’Ebolowa, a été consumé par les flammes le 19 janvier 2020.

Sam Séverin Ango est formel. L’incendie qui a réduit en cendres sa maison au petit matin du 19 janvier 2020 est d’origine criminelle. A en croire ce dernier, c’est sa femme, la nommée Géneviève Ngo Ntamack, une sexagénaire française d’origine camerounaise qui s’est laissée aller aux plaisirs de la pyromanie. D’après des témoignages rassemblés auprès des proches du couple par nos confrères d’ABK Radio, il s’agirait d’un acte désespéré posé par une femme qui n’a pas accepté le fait que Sam Severin Ango veuille se séparer d’elle. «Marié il y a 8 mois, les témoignages font savoir que depuis 4 mois, la relation bat de l’aile et Sam Ango voulait mettre fin à leur histoire. Une idée que sa compagne de nationalité française n’aurait pas supportée, annonçant des représailles qui auraient abouti à la mise à feu de la maison familiale de son époux» a-t-on appris de nos confrères d’ABK Radio

L’incendie de sa maison a fini par convaincre Sam Severin Ango qu’il était urgent d’accélérer la procédure de divorce. Le néo militant du MRC a également porté plainte contre dame Ntamack Géneviève et espère obtenir d’elle le paiement d’une somme de 150 millions de FCFA au titre de préjudices physique, matériel et psychologique. En effet d’après ce dernier «tous les documents et archives d’enfance ont disparu dans les flammes (les actes de naissance et documents officiels de la famille)» a-t-il confié à ABK Radio, avant de préciser «qu’il n’a jamais été libre dans cette relation et que sa femme voulait le prendre en otage». Il serait même en danger de mort aux dernières nouvelles. «Elle profère des menaces de mort contre moi, et même ses grands enfants m’ont menacé. Son fils qui est au GSO a même menacé de me tirer une balle dans la tête» a-t-il déclaré.

Pour l’heure, une enquête a été ouverte par le parquet d’Ebolowa pour établir les responsabilités. Quant à Géneviève Ngo Ntamack, elle a déjà été entendue par la police.

 

Auteur:
Claude Paul TJEG
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